Les effets négatifs sur la santé physique et mentale des horaires atypiques sont de mieux en mieux connus. Si l’action de prévention la plus efficace consiste à réorganiser l’activité pour instaurer des horaires standards en journée, le changement n’est pas toujours possible. Dans ce cas, des mesures, notamment organisationnelles, s’imposent pour limiter les conséquences délétères.
Parmi les secteurs d’activité recourant le plus souvent à ces organisations, ceux qui assurent la continuité de la vie sociale, comme l’hôtellerie-restauration, le commerce ou le transport-entreposage sont les principaux, ainsi que les salariés de la fonction publique chargés de la protection et la sécurité des personnes ou encore de la permanence des soins.
Au sommaire
- Travail de nuit : des effets bien connus
- Agir sur l’organisation pour respecter les horloges biologiques
- Pour chaque horaire atypique, des actions à mettre en œuvre
- Travail en 12 heures, plus de burnout et de dépression
Source - Travail & Sécurité
Parmi les secteurs d’activité recourant le plus souvent à ces organisations, ceux qui assurent la continuité de la vie sociale, comme l’hôtellerie-restauration, le commerce ou le transport-entreposage sont les principaux, ainsi que les salariés de la fonction publique chargés de la protection et la sécurité des personnes ou encore de la permanence des soins.
Au sommaire
- Travail de nuit : des effets bien connus
- Agir sur l’organisation pour respecter les horloges biologiques
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